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on se les caille un peu par ici, non ?
Froid


Messages : 8
Date d'inscription : 19/06/2019
Fiche : cœur de chair, corps de pierre
Froid
- coeur chaud, corps gelé



Dim 23 Juin - 19:51

 
FROID
" putain j'suis gelé "


INFORMATIONS
GENRE.homme

AGE.31 ans

DATE DE NAISSANCE.21 / 12

TAILLE.1m57

AVATAR.tsukishima hajime (golden kamuy) ((lisez gk svp))

IMPLANTS DÉFAILLANTS

COLONNE VERTÉBRALE renforcée, pour améliorer le port de charges lourdes et la résistance physique en général.

CONDUIT AUDITIF répare l'ouïe et l'affine.

HISTOIRE

viens là, toi.
tais toi.
reste pas dans mes pattes, merde.
putain, cause.


Ce n'est pas tendre, mais c'est le quotidien.
les bousculades, le vacarme et les railleries. ça ne fait pas mal si l'on ne sait pas à côté de quoi on passe, c'est ce qu'on finit bien par se dire ; et puis il faut bien se dire quelque chose pour considérer l'affaire classée et passer à autre chose.

les seuls instants de grâce : quand la maison entière se tait et chacun joint ses mains, ferme les yeux et murmure les mêmes mots, tournés vers ce tout petit tableau de bois recouvert d'or, minuscule sur le grand mur vide qui lui est réservé. tout seul, la nuit,
assis à la grande table pour finir ses devoirs une fois que tout le reste de la marmaille dort déjà, le bois noirci par les années brille, entouré par ces éclats jaunes qui resplendissent à la lumière vacillante d'une bougie. les aiguilles de l'horloge emplissent l'espace inerte. il pourrait presque L'entendre au creux de son oreille et ses yeux plantés sur les cahiers et les livres sont bien trop attirés par ce trésor ridicule qui est pourtant tout son monde, son monde à lui, rien qu'à lui, tout seul dans la cuisine, bien loin des corps endormis dans la pièce d'à côté. son monde, ce sont ces bouts de peinture ternie et écaillée entourés d'or qui lui promettent un Monde Meilleur, mais quand ?
plus tard, on apprendra que ce n'est pas du vrai or et que ça ne vaut rien, mais personne n'évoqua la chose et tout le monde continua de prier comme si de rien n'était l'heure d'après. affaire close et taboue. lui aussi continua comme avant, avec peut être simplement une certitude nouvelle : celle qu'ils devraient tous avoir droit au Vrai. à la vraie relique, à la vraie vie. pas à cet ersatz qu'on veut leur vendre, ceux de la classe d'au dessus tout autant que ces ecclésiastiques parés d'or, et de vrai.

l'école, c'est du luxe quand il faut s'occuper de tout ces enfants, si nombreux qu'il va jusqu'à se demander si ce sont bien ses frères. peut être que certains soirs, des orphelins se glissent dans la bande infernale qui rentre chez elle en hurlant pour profiter de la chaleur humide de tout ces corps comprimés dans le même espace qui mangent mal mais en quantité suffisante, il n'y fait pas attention et même s'il le remarquait, il les accueillerait. sans grand discours ni gentillesse hypocrite et méprisante mais simplement car c'est sa tâche. imposée par les parents, par l'âge,
et puis par ce qu'il entend une fois par semaine et qui est écrit dans le seul livre de la maison.
ils joignent tous les mains ensembles même s'ils n'ont peut être pas le même sang.

le bruit ne le quitte jamais, dans sa vie. ni enfant, élevé dans les cris injurieux et les pleurs puérils ; ni adulte, entre les mécanismes froids et les injures hiérarchiques.

il se laisse porter. perdu dans des flots qui le dépasse et l'écrase, il ne se soumet pas tout à fait au creux de des tripes mais suit le courant pour ne pas s'épuiser inutilement. il travaille, il faut bien, et il aime ça. dans les cris sourds des pneumatiques et les hurlements de la rouille et des pièces qui s'enclenchent, le tic tac rassurant des aiguilles face à l'icône s'éloigne et se fait oublier. il le garde dans un coin, et perd du terrain petit à petit. son dos qu'il jurait de garder droit est toujours aussi solide mais il ploit lentement après chaque humiliation balayée.

venir travailler plus longtemps ? ok.
fermer sa gueule lorsque le chef raconte n'importe quoi ? bon.
se baisser encore et encore, finir par croire ceux qui répètent qu'il ne vaut rien ? d'accord.

à chaque centimètre qu'il cède, chaque fois qu'il recule, il sait que ce Monde Meilleur qui le guettait s'éloigne un peu plus, la cuisine s'agrandit petit à petit et le cadre de bois devient microscopique.

le Monde Meilleur, il existe forcément, tout le monde le dit et il emplit silencieusement leurs litanies, rebondit sur chaque mur si rapproché l'un de l'autre et se cache même derrière chacune des tournures de phrase qu'ils répètent inlassablement avant chaque repas.
mais quand ?
demain ? non, sûrement pas, l'horloge indique qu'il est déjà demain et qu'il faudra bientôt aller s'écrouler de fatigue pour pouvoir se tirer du lit à l'heure.
après demain ? non, il n'aura pas encore fini la maintenance de la L43, il doit bien au moins terminer ça, il ne peut pas laisser ça inachevé.
le jour d'après, alors ? ... mais c'est la paie et il faut faire la tournée des frères et sœurs presque rejetons qui attendent sa visite hebdomadaire, les joues creuses mais les yeux débordants d'espoir.
allez, promis, juste après, dans ce cas ? oui, mais la mère a besoin que quelqu'un se charge de réparer cette armoire qui s'obstine à rompre malgré les objets de moins en moins nombreux, et qui d'autre à part lui pour le faire ?

et lorsqu'il remet en place une énième fois la planche traîtresse qui s'effondre dans le meuble, il ne remarque même plus la petite planche de bois peinte qui le toise sur le mur d'en face. le reproche cruel est trop subtil pour qu'il le perçoive alors il hausse les épaules et encaissé encore un peu plus le poids du monde sur ses épaules maintenant carrées. ses vertèbres ne craquent plus être faiblissent jamais mais son dos s'affaisse un peu plus à chaque fois.

les aiguilles ne sonnent plus, elles se sont arrêtées en même temps que ses repos se sont dénués de tout rêve.
mais le reste ne résonne plus non plus. ni les machines ni les hommes ne bourdonnent plus près de lui : le monde se tait petit à petit. ses pensées, elles, l'avaient quitté bien avant.

Alors plus rien,
plus rien,
plus rien.

non, il y a Quelque Chose.
Eux. comment les a-t-ils trouvés ? il ne s'en souvient pas exactement et n'ose dire que c'est autre chose qu'un simple hasard. mais ils étaient là, tous, et l'ont accueilli, bercé et cajolé, lui ont parlé des hommes bons et des hommes mauvais. du Bien et du Mal. des gens méritants et de ceux qui seront punis pour l'Éternité. des saints et des pêcheurs. il les connaissait, ces histoires, mais les avaient reléguées bien trop loin, enfouies au plus profond de son cœur car il n'y avait plus de place nulle part pour autre chose que le travail et celui qu'il devait aider à se nourrir et celle qui n'avait plus personne pour élever son premier enfant et... elles surgissent à nouveau, pourtant, toutes ces certitudes. on lui parle des bons et des mauvais comme avant, de la punition qu'Il a infligée aux hommes, mais pas à tous. il y a ceux qui sont responsables et les autres, les bons, qui ne doivent le voir que comme une épreuve. c'est encore le Bien et le Mal mais cette fois le Bien gagnera et c'est Vrai. vrai comme le livre et pas comme ces orateurs parés de bijoux qui le lisait dans sa jeunesse.
ils lui parlent de tout ça et l'encouragent comme l'on flatte les flancs d'une bête blessée qui doit réapprendre à marcher sur ses quatre pattes.

ils ont besoin d'argent et de temps à leur consacrer ; il donne tout ce qui lui restait encore. les réunions sont fermées, privées, cachées mais il faut toujours aider untel ou un autre à convaincre un nouveau. il ne sait pas faire, lui, alors il se tait et écoute. il soutient en opinant du chef, assure que ce qu'ils disent c'est bien la Vérité.
le mur du fond de la cuisine semble s'être drôlement rapproché.

des collègues savent tout cela et tentent de lui parler plus ou moins adroitement. expliquent que ces gens ne sont pas bien pour lui, qu'ils mentent et le manipule. ils ne peuvent certainement pas croire toutes ces choses qu'ils répètent à longueur de journée ? ils ne le rajoutent pas, pas pendant les premières discussions, mais comment peut-il se faire avoir ainsi ? ils ne cherchent que des "moutons".
et quoi, alors ! c'est un mouton, lui ? un con qui n'est pas capable de réfléchir et de se faire un avis ? se faire avoir, mais par qui, hein ! par les parents absents qui délèguent, la fratrie dépendante à ses crochets, les chefs insultants et méprisants et tout ces gestes humiliants qu'il se force à faire pour tenter de s'expliquer ? mais ses mains qui ne signent pas aussi vite que sa pensée ne sont pas plus adroites. pour tordre le fer, sûrement, mais pour répondre à ces messes basses qui parlent du mot tabou au sein du groupe, elles tranchent trop brusquement et les inquiétudes d'abord amicales des autres se transforment en un silence franchement hostile. il a voulu les envoyer chier ? bien, on verra où ça le mène, ce couillon de la lune qui croit aux merveilles. elles sont belles, les Merveilles, si c'est de claquer tout son fric pour des menteurs et des faibles et de se casser le dos jusqu'à remplacer tout ses os un à une !

il n'y pense pas, à ces choses là, il les devine lorsqu'il lit sur les lèvres les conversations lointaines mais hausse les épaules et avance et donne un peu plus de lui même, quitte à se perdre tout à fait et ne plus rien avoir. plus de quoi entretenir sa colonne d'acier ? bon, on verra bien quand elle s'écroulera tout à fait. en attendant, il y a encore des châssis à soulever et des amis à porter.

mais vient alors le Bilan.
tu sais, tu es très dévoué, mais tu n'as ramené personne de plus pour élargir le Cercle ? bon, tu n'as pas tout à fait les moyens de convaincre, pas dans cet état, mais on pensait peut être à te donner un peu de la réserve commune pour que tu puisses nous écouter parler... de vive voix. non, non, ce n'est pas juste un cadeau sans rien, mais on pense simplement que ça t'aidera. pour parler ? non, pas à tout fait... tu ne ramènerais pas plus de monde avec ça, si ? écoute, on a une autre tâche pour toi, c'est important.
écoute, il faut retourner au dessus. on prendra un implant au marché noir, il n'est pas en très bonne forme mais le pasteur a trouvé un bon chirurgien et puis... oui, au dessus, oui. là haut. tu sais, Il l'a détruit pour punir les hommes mauvais, c'était l'Apocalypse, mais il parait que les Bons pourront y retourner bientôt... c'est une occasion inespérée, tout droit venue de Lui, il faut la saisir. comme Noé qui a du repeupler le monde, il faut s'emparer de cette chance. .. non, ce ne sera pas tout à fait toi, nous pensons au Chef pour nous emmener reprendre ce qui revient de droit aux Méritants, mais il faut s'assurer le passage là haut et être sûr que c'est bien le bon moment. il faut... il faut aller préparer, tu vois. c'est sûrement dangereux, là haut, on ne peut pas perdre notre Tête pour quelque chose d'aussi risqué et inconnu, mais tu seras parfait pour ça.
Allez, monte là haut et tu t'élèveras encore plus que la simple surface terrestre. par ce sacrifice, Il t'accueillera sûrement entre Ses bras au moment du dernier souffle, car Il sait que tu le mérites.
Allez, monte et trouve le moyen de nous assurer un passage sûr et discret. Cherche comment nous contacter,
Nous attendrons de tes nouvelles impatiemment.


Dans le bureau, prêt à signer le contrat, on lui demande s'il prendra un pseudonyme, il repense à leurs demandes de rester discret et de ne rien laisser transparaître, on ne l'a même pas accompagné pour la pose du nouvel implant, par souci de discrétion.
il réfléchit, mais il ne sait pas réfléchir.
il creuse son imagination, mais il n'en a plus.
seuls les noms des prophètes et des bergers millénaires emplissent son crâne obtus, mais ce serait trop présomptueux, trop osé.

bon, l'homme en face attend, il faut se dépêcher de signer, lui serrer la main et repartir.

Froid se lève et enfile son lourd manteau, qui ne le quittera plus.

CARACTÈRE

il sait pas parler, Froid. jamais.
il essaye quand même et les mots sortent, parfois trop, parfois pas assez, mais il ne sait jamais comment s'y prendre pour expliquer avec tact ce qu'il pense.
alors il taille dans le lard, sépare la politesse graisseuse et ses ronds de jambe pour ne garder que ses mots arides et brusques.

il essaye de sourire, de temps en temps, mais ses traits semblent figés en un rictus ennuyé ou énervé, comme si c'était la seule expression qui lui seyait le mieux.

Il aimerait plus.

mais c'est quoi, plus ? plus pour lui, pour les autres ?
il sait pas.

il n'a pas d'imagination, ou si peu, tarie depuis longtemps...
alors que le monde se tut autour de lui, ses pensées semblaient faire de même.

alors un à un ses rêves se sont ternis et se sont écrasés sous la pression des autres, qui ne manquent pas de choisir pour toi si tu ne te décides jamais. il y a toujours un Idéal, quelque part, loin. au fond de son cœur il y a quelque chose qui le fait se lever tous les jours, quelque chose de plus que la routine mortelle. mais chaque pas en avant semble le faire reculer si bien qu'Il n'habitait plus que des rêves.
et puis, assommé par la fatigue,
il a arrêté de rêver.

il ne pourrait jamais faire de beaux discours aux tournures subtiles, enflammer les foules ou diriger un groupe vers l'Idéal. il se tient en retrait, derrière ceux qui le peuvent, et hoche parfois de la tête pour ponctuer. "Affirmatif," s'il est d'accord ; "Négatif," s'il n'a pas compris. puis il s'exécute.

ce n'est pas une machine, mais les mots butent contre ses dents et s'emmêlent dans sa gorge. il n'en pense pas moins que les autres, pourtant, mais seule la colère remue assez ses tripes pour passer la barrière solide qui retient la joie.
ce qu'il ne peut dire, il le fait. il ne semble qu'agir, Froid, mû par des ficelles obscures, enroulées les unes sur les autres ou bien inexistantes. il avance solidement, planté bien droit sur ses deux jambes, le dos parfois rond mais la tête toujours haute. puisqu'il ne sait faire que ça, il trace et remet les réflexions abstraites à plus tard,
à jamais,
à celui qui sait le faire.

il ne sait que le concret, mais il le maîtrise. les sentiments et les cœurs humains lui sont peut être inconnus mais la matière inerte se plie à sa volonté. il en tire peut être une certaine fierté, sans pour autant s'en vanter. il n'en touche rien à personne, pas plus que le reste, et fait seulement ce qu'il pense pouvoir faire. agir, sans réfléchir.

il en a besoin, pour espérer un jour L'atteindre.
il aime ça, pour essayer de se faire comprendre.

s'il ne peut tordre les mots à sa convenance, ce sera l'acier et le bois, les engrenages et les scies, les pioches et les pelles,
ses muscles et ses os,
entièrement à disposition des autres. de ceux qui parlent si bien, de ceux qui dépendent de lui, de ceux qui demandent de l'aide et de ceux qui se taisent. il porte tout ceux qui le veulent et ceux qui en ont besoin. il portera le monde entier, s'il le faut, sur ses épaules solides, même s'il n'arrive plus à les relever. son moral est peut être trop cassé pour qu'il se redresse tout à fait comme avant, mais il continue d'avancer. ce n'est pas à lui de se poser ces problèmes là.

il portera tout le monde, les engueulera pour accourir s'assurer que tout va bien l'heure d'après car la seule chose qui le terrifie réellement, c'est peut être le silence et l'absence.
le silence qui l'a réduit à une bête de somme qui n'a même plus la force de gesticuler pour tenter de s'exprimer.
l'absence de tout ceux qui dépendent de lui, ou peut être bien que c'est lui qui dépend d'eux. peut être bien qu'il en a en fait besoin, de ce vacarme humain, de ces soirées où l'on dort si serré que l'on ne peut même pas se retourner. il se disait toujours qu'il n'y avait que lui pour s'occuper de toute cette fratrie indisciplinée, et c'est vrai. mais il ne se disait jamais à quel point il en avait besoin, à quel point il a toujours besoin de se savoir entouré. de ne pas être seul.

STATISTIQUES

CORPS

07


FINESSE

07+1


ESPRIT

04


EMPATHIE

02

ALTRUISTE vous avez plus de chance de faire des jets chanceux lorsque vous aidez quelqu’un
MANUEL vous gagnez +1 en finesse


PSEUDO. coucou c pagure.
UN TRUC à DIRE. slt c moi le gars qui voulait absolument m'inscrire en premier mais qui est occupé irl en ce moment et qui se sent déjà dépassé car y'a 6 personnes (caillassez moi)
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Carrie


Messages : 15
Date d'inscription : 23/06/2019
Fiche : to the core
Carrie
- au bal du diable



Dim 23 Juin - 19:55
JL'AIME DEJA CE MEC FROID brr
bon courage pour la suite j'ai hâte d'en apprendre + sur lui et merci de m'avoir rappelé l'existence de golden kamuy (j'avais zappé ce nom alors que je pense h24 au charadesign du mec là)

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Adrénaline


Messages : 62
Date d'inscription : 22/06/2019
Fiche : c'est les matins comme ça qui me font pleurer
Champ libre : aesthetic
Adrénaline
- dors mais n’oublie pas mon dernier chant d'amour



Dim 23 Juin - 20:13
Bienvenue ! Froid est déjà super intéressant, trop hâte d'en savoir plus on se les caille un peu par ici, non ? 854718807 on se les caille un peu par ici, non ? 854718807
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Romulus


Messages : 10
Date d'inscription : 22/06/2019
Fiche : écrire ici
Romulus
- tous les chemins mènent à Rome



Dim 23 Juin - 20:36
je suis pas encore validé mais je tenais à dire que j'adore ton personnage c'est une merveille voilà & j'ai hâte de lire la suite 👁
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Crocodile


Messages : 77
Date d'inscription : 17/06/2019
Fiche : CROCODYLINAE
Champ libre : PUSILLANIME
Crocodile
- ha les crochotdiles sur les bords du Nil



Dim 23 Juin - 21:41
Je te caillasse avec mes bouts d'amour on se les caille un peu par ici, non ? 1475082459
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Froid


Messages : 8
Date d'inscription : 19/06/2019
Fiche : cœur de chair, corps de pierre
Froid
- coeur chaud, corps gelé



Lun 24 Juin - 18:21
hhh merci beaucoup à vous tous!! on se les caille un peu par ici, non ? 611518396

courage pour ceux qui vont lire car hahaha jme suis vachement plus étalé que prévu mais voila...
on se les caille un peu par ici, non ? 2138721450
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Canine


Messages : 316
Date d'inscription : 16/06/2019
Canine
- maitre du jeu



Lun 24 Juin - 22:37
aptitudes au choix

Foi lorsque votre état est critique, vous survivez plus de tours qu’une personne normale
Altruiste vous avez plus de chance de faire des jets chanceux lorsque vous aidez quelqu’un
Persistant vous encaissez les coups plus facilement que la moyenne
Manuel vous gagnez +1 en finesse

Je pourrais m'étaler sur Froid longtemps (trop) et je suis vraiment amoureuse du personnage ? Il est doux et pourtant si bien campé sur ses jambes même si la mélancolie tourne autour de lui.
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Froid


Messages : 8
Date d'inscription : 19/06/2019
Fiche : cœur de chair, corps de pierre
Froid
- coeur chaud, corps gelé



Lun 24 Juin - 23:38
Encore merci !!
on se les caille un peu par ici, non ? 2138721450
c'était trop dur de choisir car tout est bien mais j'ai tranché pour les aptitudes !
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Canine


Messages : 316
Date d'inscription : 16/06/2019
Canine
- maitre du jeu



Lun 24 Juin - 23:48
validation

on se les caille un peu par ici, non ? 2138721450 on se les caille un peu par ici, non ? 2138721450 on se les caille un peu par ici, non ? 2138721450

- un COMMUNET personnel sera bientôt mis à votre disposition, vous y trouverez vos informations personnelles.
- vous serez bientôt assigné à une zone de la carte : celle-ci devrait apparaître d'ici peu.
- un nouveau sujet rien que pour vous sera crée par Canine par la suite où vous pourrez commencez l'aventure, attendez-nous !
- si vous voulez un rang personnalisé, n'hésitez pas à demander.
- n'oublie pas de recenser ton avatar ICI.
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