CROCODILE
nos nuits seront noyées

GENRE.masculin

AGE.26 ans

DATE DE NAISSANCE.07/02

TAILLE.1M76

AVATAR.Ghiaccio + JoJo's Bizarre Adventure Vento Aureo
CERVEAU augmente la mémoire
CERVEAU 2 permet de prendre des photos directement via la vision
Tu es né dans les sous-sols, pauvre comme la plupart d’entre vous. Tu n’as jamais plaint ta situation : tu es un de ces grands orphelins pittoresque, ton âme ne s’en attriste pas. Ta grand-mère t’a élevé : elle est tout pour toi. On dit que ta mère est partie avec un autre homme (schéma classique de soap-opéra), que ton père n’est plus. Il est sans doute parti avec une maîtresse, une bonne-dame pour entretenir ses derniers jours, ce que toi, enfant de bas âge, n’aurait pas pu faire : bon à rien.
Tu as toujours excellé à l’école. Ta situation n’a pas pu permettre plus. Pourtant, déjà, tu étais fier, déjà, tu les prenais de haut (tu avais compris que c’était la chose à la faire.). On te laissait tranquille : toi petit bras, grande bouche, tu mords, toujours.
Tu as usé tout ce qui était gratuit : tu n’as pas pu continuer. On t’a pris là où on pouvait. Premier job : faire l’inventaire d’une boite peu populaire, acceptant encore les personnes non modifiées, sans implants. Toi, tu n’aimes pas le technologie en tout genre, toi, tu as du mal à vivre en société. Tu t’adaptes, parce qu’il le faut. Alors, voilà, premier achat, premier implant, premier prêt : tu t’en sortiras, tu le penses.
Tu vis tranquillement, trop. Tu ne montes pas les échelons (avec quoi ?). Bientôt, ta mère d’adoption vieillit, s’arme de rides, de sagesse. Elle possède des implants, elle : deux, trois, venant d’ici et de là. Tu la soupçonnes d’en avoir acheté illégalement, vous n’en parlez pas. Pourtant, elle tombe malade, vite. On dit qu’un implant s’infecte, la voilà touchée, k.o, prête à être fauchée. Et tu sais encore qu’on ne l’aidera pas : pas assez d’argent et quand bien même, encore une fois, tu la soupçonnes de pactiser avec les démons. Elle n’en dit rien, aucune aide demandé. Tu n’aimes pas les autres, tu n’aimes pas les règles établies, tu n’aimes pas la foule se pressant de tout côtés.
Tu achètes un deuxième implant : un gars du job te donne des bons tuyaux. Toi aussi, tu signes le contrat. Tu sais que le deuxième signera ta mort : tu n’as déjà pas de quoi faire les mises à jour du premier.
Tu réussis à gagner plus. Tu entretiens les derniers jours de ta bien-aimée, ce que toi, enfant grand âge, peut maintenant faire. Elle ne laisse rien derrière elle, sinon une dépouille. L’appartement est vite débarrassé. Tu n’as plus vraiment de quoi vivre, tu te bats simplement comme tu peux. Tu cultives tes deniers instants, toi rages au ventre, tu espères pouvoir trouver mieux, un travail plus intellect, quelque chose d’autre. Toi, qui déjà vois ta vision se brouiller, oublies encore quelques informations.
Alors, tu es viré.
Alors, plus tard, tu trouves une annonce : douteuse. Pourtant, toi et le doute, êtes sans doute déjà marié. Alors, tu te présentes : Crocodile naît de l’entretiens. Crocodile serait élevé, amené sur terre. Crocodile voit la neige pour la première fois.


Crocodile, tu mords. Crocodile, tu mords et tu s’enfuis si vite. Tu es de ceux qui ont la peur au ventre, toujours effrayé d’un danger qui tu sais, rôde à ta porte. La violence est la seule option : déjà dos au mort, croc en dehors, carnassier de sortie. Tu es sans doute encore celui qu’on pourrait qualifier de fougueux, irréfléchi. Un brin colérique, tu aimes te plaindrais, gémir comme si le poids du monde était sur tes épaules. On ne te supporte sans doute pas (et tu es trop effrayé pour oser contredire ceux qui le pensent.). Tu regardes de tout les côtés, droite, gauche, sans même avoir besoin de traverser : tu as peur de te faire attraper, chasser, mais par quoi ? Crocodile, tu laisses la demoiselle en péril dans sa tour, la grand-mère traverser seule : tu as peur pour ta propre personne, tu en deviens égoïste (et tu ne comprends pas vraiment leurs pensées, obscures, tu ne peux les mordre.). Tu es devenu as dans l’esquive, la fuite, le repli et toutes les prouesses qui s’y lie. Tu manies sans doute assez bien les mots pour t’en sortir (là où charisme, tu ne possèdes, toi, face banale, aucun ange n’a déposé de baiser sur tes lèvres).
Crocodile, tu les jalouses, ceux-là, au bel esprit, aux traits bien tirés. Crocodile, tu as conscience d’être si laid et encore, tu peint ton portrait en noir : tu seras le méchant, l’antagoniste, celui qui fait peur aux enfants. Tu seras laid, ton âme pourrissant, ta chair, doucement s'enfuyant, les rides te prenant. Tu es déjà vaincu ô tôt grand combattant, tu mords encore pourtant.

LÂCHE bonus lorsque votre personnage fuit
PARANOÏAQUE il est plus difficile de surprendre votre personnage

   
PSEUDO. morose
UN TRUC à DIRE. écrire ici