chlorøphile
doux comme la plante
INFORMATIONS
GENRE.Masculin
AGE.24 ans
DATE DE NAISSANCE.24.04
TAILLE.1m70
AVATAR.oc + jsp de qui ;;
IMPLANTS DÉFAILLANTS
HERBIER VIVANT Enfant, Chlorophile a reçu un implant lui permettant non seulement de réparer sa mémoire défaillante, mais aussi de l'accroître. Ainsi, sa mémoire lui sert d'Herbier géant pour stocker toutes les données sur les plantes qu'il étudie. Commence à être défaillant depuis peu.
I SEE YOU BOBBY Implant oculaire. Chlorophile a usé et abusé du portefeuille de papounet pour se faire "installer" un microscope dans les pupilles. L'objectif n'étant pas de voir de loin, mais de pouvoir zoomer de très près, pour mieux observer sa flore préférée. HS depuis plusieurs mois.
HISTOIRE
Chlorophile est une base de données sans fond. Un puit de sciences. Un herbier en puissance. Ca n’a pas toujours été ainsi.
Très tôt, l’enfant a manifesté des troubles plutôt inquiétants. Incapacité à s’exprimer. A apprendre de ses erreurs. Je te montre que le carré va dans le trou carré, tu te trompes, je te remontres, tu te retrompes. Si bien que les médecins ont rapidement diagnostiqués une débilité sévère au gamin. Jusqu’à tomber sur le bon médecin. Car maman n’acceptait pas le diagnostique. Aucune mère ne le peut. Et l’anomalie a enfin été décelée : le petit garçon n’était pas idiot, il était simplement sujet à pertes de mémoire immédiate. Ne souhaitant pas vivre dans la honte complète d’un rejeton stupide, le paternel aligna les billets pour que son fils reçoive un implant lui permettant non seulement d’avoir une mémoire, mais d’en avoir une exceptionnelle.
C’est à partir de ce moment-là que Chlorophile peut vous raconter son histoire de lui-même (eh oui, puisqu’il s’en souvient /pan).
⥋J’ai l’impression d’être né enfant. D’avoir loupé l’étape “bébé”. Quelques images me reviennent sous forme de flash, flous, diffus. Je m’appelle Chlorophile. J’ai évidemment un nom et prénom, dont je me souviens, mais que je ne vous confierai pas. Je vais vous refiler la version accélérée de ma vie, aussi plate qu’une feuille de bananier. Petit je me faisais taper dessus. Souvent. Tout le temps. On me tuméfiait les yeux, on exposait le précieux liquide rouge de mes lèvres, on enlevait des dents inutiles, et par-dessus tout : on me brisait le nez. Pourquoi, je ne sais pas. C’était la partie préférée des garçons de mon âge. Ce genre de petites comédies se répétaient si souvent qu’un jour mon papa a préféré m’acheter un masque plutôt que de payer mes soins. Il est chic, mon papa.
Quand au pourquoi, il est bien simple : j’aime la flore. Les fleurs, les arbres, la pelouse, … tous les végétaux sont mes amis ! Ma maman est botaniste. Quand j’étais petit il parait que j’avais très mauvaise mémoire. Alors maman utilisait les fleurs pour m’aider. Le toucher, l’odorat, la vue … elle monopolisait mes cinq sens pour m’aider à me souvenir des noms et des espèces. En vain. Et quand enfin mon implant m’a permis de devenir “normal” pour reprendre le terme de papa, je n’ai pas perdu cette habitude. Au contraire. Je voulais tester mes limites, voir combien de noms de mes camarades je pouvais retenir ! Et mon papa s’est vite mis à m'appeler “le putain d’Herbier” ! J’étais honoré. Quant à maman, elle me surnommait “Chlorophile”. Parce que j’étais agréable, frais et précieux. Comme toute les plantes somme toute. J’aime ma maman. Elle est aussi douce qu’une oreille de lapin -la plante, j’exècre les animaux-, et rayonnante comme le soleil (à ce qu’on dit). Parce que le Soleil, je ne l’avais jamais vu.
Evidemment avec une telle mémoire d’éléphant (askip, c’est un animal) j’étais plutôt bons dans mes études. Pas quand il s’agissait de réfléchir hein, de penser. Non, simplement quand il s’agissait de vomir ses connaissances au cours d’une évaluation. Je n’ai jamais beaucoup réfléchi à mon avenir professionnel : il semblait tout tracé. Botaniste, comme maman. Et j’étais bon. J’étais un des meilleurs parait-il. J’ai lu des tas et des tas de documentations. Et tout s’est gravé dans mon esprit ! Quand une espèce était malade, je parcourais ma bibliothèque mémorielle pour trouver les soins adaptés. J’étais plutôt heureux. Encore que je peinais à quitter l’organisation maternelle : se faire recruter quand on porte un masque à longueur de temps, c’est compliqué. Les gens se promènent avec tant de préjugés. Moi j’aime bien qu’ils me toisent. Qu’ils se demandent ce qui se cache sous ce masque. Une sale gueule ? Une déformation horrible ? Un visage de psychopathe ? Puis maman m’a dit “deviens incontournable, indispensable”. Alors j’ai demandé de l’argent à papa pour un nouvel implant.
Cette fois c’était pour mes yeux. Ma vue était normale. Mais la normalité n’a rien d’incontournable. Alors j’ai demandé une sorte de zoom. Une possibilité de réalité plus précise, plus nette, un microscope dans la pupille ! Et c’était un bon choix. Maintenant je vois les poils sur les feuilles, mais aussi tous les petits organismes qui s’affairent autour. Oh je ne vois pas à quinze kilomètres, hein. Simplement de près. Encore plus près. Et c’est comme ça qu’un jour j’ai reçu une drôle de missive. De KASPAIR.
On me proposait de regagner la surface. De sauver d’autres plantes, d’autres arbres. On ne me questionna pas sur ma tenue, sur mon visage. Et naïvement j’ai accepté. Parce que pour moi c’était un premier pas vers la liberté, mais aussi vers de nouvelles expériences et peut-être de nouvelles espèces. Accessoirement parce que mon implant oculaire est cassé, aussi, et que papa ne veut plus m’avancer les frais de réparation.
Jusqu’ici j’ignorais ce qu’était réellement le froid. J’ignorais ce qu’était la faim. J’ignorais le vrai sens du mot “solitude”.
- Résumé:
- Chlorophile est né avec un trouble de la mémoire immédiate plutôt important. On lui a posé un implant pour une mémoire de 50T à ce moment-là (enfant).
- Petit il était la cible de moqueries de ses camarades, et se faisait régulièrement péter la gueule. Au point que le daron a décidé d’arrêter de payer les soins “esthétiques” au profit d’un masque impersonnel.
- Sa maman l’a très tôt initié au plaisir de la botanique : son implant lui a permis d’emmagasiner pleins d’infos sur les plantes, et d’en faire son métier.
- Il est plutôt calé, mais son masque fait blocage socialement, il peine à quitter la serre familiale.
- Chlorophile est recruté par KASPAIR pour soigner les plantes de la surface, et il y va comme on entrerait dans un nuage (inconscient, un peu).
CARACTÈRE
Chlorophile est aussi doux que son pseudonyme. C’est souvent une proie, une victime. Encore que ses connaissances en matière de flore pourrait lui donner des armes puissantes. Il sait les soigner, les bichonner, mais il connaît aussi leurs effets. Le dosage pour un bon somnifère. Pour un antalgique. Pour un poison.
Il n’est pas méchant, Chlorophile. Si vous le frappez, il tendra sûrement l’autre jour en souriant. Un peu benêt ? Peut-être. Ou profondément bon. Il aime rire, il aime le calme, il aime découvrir. Jouer avec sa mémoire, aussi. C’est un altruiste dans l’âme, un fils à maman. Ni égoïste ni rancunier. Jamais jaloux. Oui mais voilà, Chlorophile reste susceptible. Il aime qu’on s’interroge silencieusement sur son visage, mais pas qu’on formule ses interrogations à haute voix. Il peut devenir colérique, peut-être même violent si on le travaille un peu trop au corps sur ce sujet sensible. Le jeune homme jouera la comédie un temps, vous dira qu’il préfère rire de la situation, mais il n’en est rien. Ce masque est une façade, un bouclier contre la vérité.
Autre chose : il n’aime pas perdre, Chlorophile. Ni au jeu, ni dans la vie. Et il est capable de s’accrocher de toutes ses forces pour ne pas sombrer dans les limbes de la défaite. Donc laissez-le gagner si vous jouez. Éclipsez-vous s’il ne parvient pas à trouver une solution face à une plante malade. S’il a bon fond, il lui arrive parfois d’être manipulateur, à Chlorophile. Juste pour s’amuser, rarement avec de mauvaises intentions. Mais il aime semer la discorde pour rétablir la bonne entente quelques minutes plus tard. S’il est très peu sportif, le Botaniste fait tout de même travailler l’un de ses muscles : son cerveau. Tout le temps. Pour inventer des histoires (menteur ? jamais … jamais ?), résoudre des problèmes, se sortir de situations compliquées … quelle joie la gymnastique cérébrale !
En revanche Chlorophile déteste certains plaisirs simples, tels qu’écouter de la musique ou “sortir” entre amis. Le jeune homme préfère le calme. Il reste également loin des animaux, quels qu’ils soient : un animal c’est violent, égocentrique, et ça requiert trop d’attention. Tandis que ses plantes, elles, ne sont pas envahissantes (si peu). Mais il vrai qu’un animal peut parfois se révéler utile, sûrement. Pour vous réconforter à la suite de cauchemars par exemple. Quand une foule inconnue sans visage vous arrache votre masque. Quand vous vous voyez suffoquer, la tête dans un trou percé à même la banquise. La peur peut-être être plus glaciale que les blocs de glace ?
Doux - Victime - Amoureux des plantes - Très bonne mémoire - Aime rire - Généreux - Curieux - Altruiste - Susceptible - Parfois colérique - Manipulateur à petite échelle - Mauvais perdant - Têtu - Menteur - Peur que l'on découvre son visage et de la noyade
STATISTIQUES
CORPS
2
FINESSE
6
ESPRIT
7
EMPATHIE
5
Main verte plus de chance de trouver des baies et autres plantes comestibles, plus de chance qu'une plante pousse rapidement
Altruiste vous donnez des bonus aux dés quand vous êtes proches de quelqu'un
UN TRUC à DIRE. j'vous déteste. parce que vous êtes beaux et que du coup j'ai craqué, alors que j'ai pas le temps de rp ;; mais comme y a pas de pression et que je peux au moins venir deux fois par semaine, ça devrait le faire !
En vrai vous êtes beaux, hyper originaux (culotté le coup des persos qui crèvent !) et ... j'ai envie de tenter l'aventure, donc merci à vous !
Je fais les résumés demain, Chlorøphile vous fait des bisous masqués